Féminisme, parité et leurs terribles conséquences...
Cher lecteur, chère lectrice,
Cher lectrice, cher lecteur,
Cher lecteur,
Che…
Déstabilisant comme un fumet de chaussettes sales, un terrible doute m’assaille quant à la formulation à employer… Je ne voudrais commettre d’impair fatal dans ce numéro placé sous le signe du féminisme…
Féminisme, féminisme, féminisme…
Au sein de mon foyer aussi égalitaire qu’une tarte aux pommes coupée en quatre, ma moitié et moi-même partageons équitablement les tâches. Prenons un exemple : la corvée des courses : Un tour l’un, un tour l’autre, c’est l’jeu ma pauv’ Lucette. La semaine dernière, je devais me farcir l’achat du repas du soir. Après avoir essayé de feinter telle une crème-te-jurant-sur-la-tête-de-sa-mère-qu’elle-va-t’effacer-tes-vilaines-ridules-sous-yeux, et constatant le total manque d’attendrissement de mon compagnon face à mes viles manœuvres, je me plie de mauvaise grâce à l’exercice. J’enfile un vieux legging datant d’il y a des siècles et des siècles (et des siècles), une veste pelée comme le cul d’un vieux chat, fourre ma carte bleue dans une poche, ma fille La Terreur dans l’autre la voiture et file, armée de l’essentiel pour parer à nos besoins les plus essentiels : shopper une fondue.
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